Qui suis-je?

Maman d’un enfant dysgraphique, je me suis formée en tant que graphothérapeute afin de comprendre les difficultés rencontrées par mon fils ainsi que les méthodes de remédiation possible.

La graphothérapie pure ne me permettant pas de comprendre:

–  l’origine des tensions dans les poignets  et avant-bras (crampe de l’écrivain), ni pourquoi il était difficile  à certains enfants de tenir un stylo, je me suis intéressée à la partie développement de la motricité. Pourquoi la motricité pour certains enfants/adultes était plus difficile? Que fallait-il pour relancer la progression dans ce domaine?

– pourquoi il était difficile d’écrire sur une ligne horizontale pour certains enfants. C’est ainsi que je me suis intéressée aux réflexes visuels puis aux réflexes auditifs étant confrontée au challenge des enfants dyslexiques et à surdité « dite psychologique »

– pourquoi des enfants dont l’écriture était lisible et qui écrivaient à une vitesse « standard » pour leur âge n’aimaient pas écrire et déployaient toutes les stratégies pour éviter de passer par l’écrit.

En résumé,  quelle était l’influence du stress/ des peurs/ de la sensibilité, du mode de vie sur le développement de la motricité et comment détendre les muscles afin de reprendre le cours d’un développement interrompu?

Et inversement quelle influence une meilleure intégration motrice pouvait-elle avoir sur la sphère psycho-émotionnelle et des apprentissages.

Autrement dit à quelle difficulté pouvait-on remédier en travaillant l’intégration motrice? Ce fut cette réponse au champ extrêmement large ainsi que les résultats obtenus qui motivèrent l’ouverture du cabinet également aux adultes faisant face à des douleurs musculaires/ blocages en situation de stress.

N.B: Parce qu’ils sont une source de richesse incommensurable, j’accueille bien volontiers les enfants « différents » ou « extra-ordinaires » qui auraient besoin d’aide par l’une ou l’autre des méthodes que j’utilise.